Très accessoirement, cela oxygène un peu notre « carcasse » et nous entraîne à la persévérance.
« Quand on partait de bon matin, quand on partait sur les chemins, … à bicyclette ! » Y’avait Paulette, il y avait Paule, y’avait Odette !
Et ce n’était pas la compète !

frère Éric, responsable de l’activité vélo
Ainsi chaque année, une étape de ce pèlerinage rassemble pour quelques jours, grands et petits, jeunes et vieux, sportifs et pantouflards, pour un temps de fraternité. La chaleur de notre partage évite à nos corps, à nos cœurs et à nos bicyclettes de rouiller.
Chacun peut y trouver sa place, sur un vélo normal, électrique, sur un tricycle, sur un tandem s’il est aveugle, ou accompagnant, photographiant, conduisant la voiture-balai, préparant le pique-nique. Nul besoin de savoir-faire, de robustesse ou de prime jeunesse, nous roulons ensemble et à notre rythme, tout en restant attentifs à ce et ceux qui nous entourent.